
L’iMe est un tout petit monoplace. Son autonomie limitée à une cinquantaine de kilomètres serait contrebalancée par un système de chargement par induction lors de ses trajets urbains.

L’iWe est une espèce de familiale capable d’emmener quatre personnes. Les passagers s’installent dos à dos. Parfaitement symétrique et animée par un moteur électrique sur chacun de ses essieux, l’iWe peut se déplacer dans l’un ou l’autre sens sans faire demi-tour. La batterie lithium-ion Tesla logée dans le plancher lui garantit une autonomie de presque 500 km, malgré un 0 à 10 km/h expédié en moins de 5 secondes.

L’iUs en est grosso modo une version coupé. Sa carrosserie plus racée comporte cette fois bien un avant et un arrière bien distincts. Elle embarque deux personnes installées côte à côte, plus bas et plus en retrait. En tant que voiture plaisir de la famille, c’est une propulsion (moteur électrique sur l’essieu arrière), et la seule des trois dont le « conducteur » peut prendre lui-même le contrôle. Sans doute encore plus performante que l’iWe, elle offre une autonomie inférieure (320 km).
Hormis cette dernière, toutes ces autos sont vouées à se déplacer d’elles-mêmes en « trains », et capables de s’orienter et de gérer le trafic environnant de façon totalement autonome. Ça fait rêver.